Blitzkrieg: test de campagne

Camarade Friedrich, ce n'est pas en dessinant des patates qu'on gagne des batailles, c'est en les buvant!
:drunken:

Ach!.Kartoffel!...nous y irons libérer nos Kartoffel!!! Leur place est dans la Sauerkraut!!!..pas dans l'alambic d'yvan!!!! :evil: :evil: :evil:

Fort des renseignements obtenus lors de la reconnaissance du 22, le général Friedzig donna une nouvelle chance aux bavarois de montrer leur supériorité sur Ivan. Flushgorod devait être enlevée le 29.

Comme il s’avéra que la guerre n’avait pas réussi aux hommes, on décida de les envoyer à l’exercice. L’étude du plan fut confiée au lieutenant Heinz, chef de la section de pionnier qui s’échina à tracer de nombreuses patates à l’aide du " H.Dv. 220/9. Ausbildungsvorschrift für die Pioniere (A.V.Pi.) Teil 9 - Gliederung, Stärke und Ausstattung der Pioniere und Truppenpioniere. 1940."

Parallèlement une révision générale du "Ausbildungsvorschrift für die Infanterie (A. V. I.) Heft 9, Führung und Kampf der Infanterie. Das Infanterie-Bataillon. 1940" fut organisée au sein de la formation.

Une fois le plan arrêté et les crânes bien bourrés l’opération fut répétée maintes fois à l’exercice après la choucroute du matin. Les cancres tinrent lieux de plastron afin de mieux simuler le caractère particulier de l’ennemi.

Le matin du 29 le bataillon parti la saucisse au fusil, convaincu qu’il se livrait à un nouvel exercice, et chacun respectant scrupuleusement l’enchaînement des différentes phases :

Phase K - La batterie de 105 ouvre le bal en délivrant un feu roulant sur les lisières au sud-est du village : elle balaya des l’ouverture Flushenko en personne et l’observateur de la batterie soviétique.

Phase A - Une section de Panzer légers dépose la section du lieutenant Heinz sur le point « G » entre la colline et la haie, face au champ de mines, pour ouvrir la voie: à peine arrivé au sol le lieutenant lança une charge explosive qui ne détonna pas, puisque ce dernier s’était naturellement muni d’une charge d’exercice inerte. Les pionniers enclenchèrent alors la Phase A bis : rideau de fumigène et déminage soigné.

Phase R – Une section de Sturmgeschütz dépose les mitrailleuses de la 2.IR20 sur la colline sur l’aile gauche des pionniers, à l’abris des blindés et en vue des lisières du bois au nord-est.

Phase T – Les trois Panzer s’engouffrent dans la brèche accompagnés d’une section de motocyclistes pendant que le reste de la 2. IR20 s’avancent à son tour au pas de gymnastique. A ce stade le point G ressemble à une route ardennaise au mois de mai, l’observateur soviétique qui a repris ses esprits tente d’en profiter en dirigeant un tir qui assassine une famille taupe toute entière. Serré de près par les motocyclistes, il est rapidement contraint de s’enfuir au fond des bois.

Phase O – Nettoyage de la zone ZZ1. Le panzer n° 233 contourne le bois par le sud, suivi des pionniers qui sécurisent l’épave du Stug détruit le 22. La section de Panzer se reforme derrière Flushgorod face au second bois d’où s’échappent les cris de douleurs de l’équipage du Stug capturé le 22, certainement interrogé par l’homme du NKVD. Quelques pièces antichars font de brèves apparitions lors de cette phase sans provoquer de dommage.

Phase FF – Le bon déroulement de l'exercice et mis en péril par un imprévu. La résistance du plastron est si molle que les fantassins se trouvent très éloigné des panzers qui sont déjà en zone AZ. Le Hauptmann doit prendre sur lui la décision de ne pas se conformer aux règles de l’exercice et décide de couper par Flushgorod, d’où partent des tirs en directions des mitrailleuses et des Strurmgeschutz postés en appui des panzers sur la colline. Yvan dans le village ne semble pas avoir compris qu’il était encerclé et résiste de façon aussi absurde que résolue. Il provoque quelques pertes chez les bavarois.

Phase E – Tapis au fond de son bois le commissaire politique tente de gagner du temps pour poursuivre sa funeste besogne. Il désigne pour ce sacrifice retardateur la section de pionniers de la compagnie. Mais depuis le 22, le fluide n’avait pas été changé et Flushenko n’était plus là pour défier la raison...

Phase L – Victoire !..Yvan fuit en désordre, sans même préter attention aux menaces de l’homme du NKVD qui assassine lâchement ses prisonniers avant de prendre ses jambes à son coup !

Un rapide ratissage de la zone fut effectué. On retrouva les corps de l’équipage martyr, mais il se révéla impossible d’identifier formellement celui commandant soviétique. On découvrit également avec stupeur que l’ennemi avait entamé quelques réparations de fortunes sur l’épave du Stug n° 22! Les Isba de Flushgorod furent débitées en guise de combustible à la choucroute du soir, et le nom de Mouliev Moujerov inscrit sur la liste des criminels de guerre.

Grâce à la belle tenue de sa seule compagnie engagée, malgré l'écrasante supériorité numérique et matérielle de l'ennemi et sa perfidie encore inégalée dans l'histoire de la guerre, le colonel Flushenko a, en deux jours de combats acharnés, réussi à faire gagner assez de temps pour faire évacuer l'ensemble des habitants de Flushgorod, et au passage fait connaître aux Teutons le côut du sol soviétique.
En effet, alors que nos valeureux soldats, fils de paysans et de marins pêcheurs de la petite cité ukrainienne de Novo Flushirsk, n'avaient pu recevoir aucun renfort depuis la vieille, nos hommes ont réussi l'exploit stakanovichique de doubler en cette seconde journée les pertes allemandes.
La plaine est maintenant toute entière jonchée de véhicules allemands calcinés, et l'épaisse fumé qui la couvre serait, d'après radio Moscou, visible depuis la citadelle de Brest.
Nos pertes auraient été négligeables si l'hydre fasciste, par une haine tenace à l'égard de toute humanité habité, n'avait pas fait tirer sur le bois où nos troupes avaient installé une antène médicale. Première victime, Flushenko lui même, encore dans l'ambulance qui le ramenait au front...
Tirer sur nos ambulances, voilà ce en quoi l'ennemi implacable et sanguinaire est réduit pour tenter de progresser.
L'extrème vaillance de nos troupes, réduites à combattre à 1 contre 10, coûta à l'allemand de lourdes pertes tant en hommes qu'en matériel.
Nos artilleurs, restés sur leur pièce jusqu'au dernier instant, ainsi qu'un assaut de nos intrépides pionniers se lançant sous le feu des MG face aux panzers de Friedzig réussirent à gagner assez de temps pour permettre que le problème posé par les nombreux prisonniers que nous avions fait la veille soit solutionné, grâce au sang froid du commissaire Mouliev Moujerov :suspect: , et que le reste de la compagnie se replie dans en bon ordre.
Mais laissons plutôt les chiffres parler.
Sur ce secteur de front, en seulement deux jours de combat, l'ennemi aurait perdu 3 chasseurs bombardiers, 18 canons d'assaut ou panzers lourds, et entre 400 et 500 hommes, dont une centaine de prisonniers. :drunken:
Nos pertes sont, au regard, presque négligeables: une cinquantaine d'homme, et quelques pièces anti tanks.
Résultats incroyables quand on songe que de notre côté, aucun matériel lourd n'a été engagé. :sleep:

A quand un recueil des meilleures pages de l'Ultima Pravda?

Tu fais des Passeports, pour la plage?

Toujours aussi drôle!

Avec le déluge qui vient de tomber sur la plaine ukrainienne, nul doute que le prochain numéro de l'ultima Pravda vaudra son pesant kartoffel embourbées. :|

Optimisation. Voilà le maître mot, le seul qui vient à notre fier organe de presse, quand il s'agit de vouloir qualifier la façon de mener la guerre à laquelle se livre le colonel Flushenko, noble et humble ouvrier de la cause prolétarienne.
Lors des derniers combats, fort des seuls héros de sa compagnie pourtant bien entamée, il a encore une fois réussi à déjouer les plans ennemis, en coupant le fer de lance jeté par Von Friedrich d'un coup auguste de serpe, avant qu'aider par le 7° de cavalerie cosaque dont les éléments d'avant garde viennent d'arriver sur le champ de bataille, un magistral coup de marteau ne vienne réduire à néant l'orgueilleuse Allemagne. La serpe et le marteau, l'orthodoxie entre en campagne!

Hm!..L'ultima pravda serait-elle muselée? Il est surprenant que l'organe du parti n'exploite pas les faits d'armes de Flushenko...ou alors serait-ce par crainte que le colonel fasse de l'ombre au maréchal?

c'est juste qu'à Brest Littovsk, on est à cours de papier. Le nombre de caractère est limité à 200 par articles... Ah, Krieg gross malheur!
De plus, on se réserve pour la prochaine édition, avec des photos de lognues files de prisonniers allemands s'étendant sur plusieurs km, et Flushenko posant auprès de carcasses fumantes de panzers.

Optimisation. Voilà le maître mot, le seul qui vient à notre fier organe de presse, quand il s'agit de vouloir qualifier la façon de mener la guerre à laquelle se livre le colonel Flushenko, noble et humble ouvrier de la cause prolétarienne.
Lors des derniers combats, fort des seuls héros de sa compagnie ayant déjà essuyée de lourdes pertes, il a encore une fois réussi à déjouer les plans ennemis.
Ceux-ci, oubliant de quel bois est fait le héros Socialiste, a tenté lors de ce troisième jour de combat de percer nos lignes.
La compagnie A du 1° bataillon de la 10 ° d'infanterie fit vaillamment face à l'attaque menée par de très nombreux blindés ennemis. Habilement, et appliquant à la lettre les ordres reçus du général de corps Petrov, la compagnie se crampona au bourg de Kraïna Flushgïa, laissant passer pour les pièger plus tard quelques vaniteux tankistes allemands. Lors, Flushenko coupa net le fer de lance jeté par Von Friedrich d'un coup auguste de serpe, grâce à l'opportun bombardement de la batterie du bataillon qu'Ivan Ivanovich appela au moment le plus critique. Les fascistes, engagés comme scouts en virée, furent pillonés si durement qu'ils abandonnèrent toute envie de progresser et fuyèrent honteusement.
La compagnie A, ne craignant plus un ennemi qui s'était volatilisé, reçut l'ordre de se repositionner et quitta le champ de bataille. A cet instant précis, arriva pour les relever le 7° de cavalerie cosaque dont les éléments d'avant garde, 3 T26 commandés par le lieutenant Marya Zalopskaïa, assignèrent à l'ennemi un magistral coup de marteau qui réduit à néant l'orgueilleuse Allemagne.
La serpe et le marteau, l'orthodoxie entre en campagne!
La victoire fut totale, et l'ennemi impétueux menacé.

Conscient de l'impacte psychologique que représente un homme de la trempe de Flushenko, le général Petrov lui a assigné l'ordre de réduire la poche ennemie. Aussi lui a t on confié les hommes de la compagnie B, non encore engagée, pour réaliser cette tâche hardue.

Le voilà quelques heures plus tard arrangant ses hommes, hissé sur les carcasses de panzers laissés par le Fritz dans sa déconfiture:

Tovaritschi !
Grace à l'excellente tenue de vos frères de la courageuse compagnie A que j'ai eu l'honneur de commander, les efforts offensifs de l'ennemi se sont vus jusqu'à ce jour honteusement contrecarrés, malgré la traitresse et la perfidie de l'ennemi, et un rapport de forces constamment en notre défaveur.
Cependant, comme vous ne l'ignorez pas, une poignée insignifiante de blindés fascistes à inconsidérément percé nos lignes, avant l'arrivée de nos frères d'armes cosaques qui ont instamment refermé la brèche cotérisée par notre fabuleuse artillerie.
Soldats et officiers de la compagnie B, vous allez fièrement entrer en ligne contre un ennemi aux abois, déjà las d'une guerre qu'il sait déjà perdu! Faites honneur à vos aînés, et n'accordez à ces barbares nul quartier! Nettoyez ce secteur de leur infamante présence, en les anihilant jusqu'au dernier! Rappelez vous qu'une poignée d'irréductibles réussit seule à stopper ses hordes mécanisées à Flushgorod, et faites encore mieux en vous saisissant du butin qu'ils nous offre ici imprudemment! Que chacun tue son Fritz, et que notre unité gagne encore un peu plus la confiance de nos supérieurs et du Camarade Staline qui nous enjoint de défendre la mère patrie du socialisme jusqu'à la mort!
Bouttons le Teuton hors de notre Mère Patrie; plus un pas en arrière!
Soldats et officiers de la compagnie B, que cette journée montre à von Friedrich l'invincibilité de notre Glorieuse Armée Rouge des Paysans et des Marins Pêcheurs! Tuez les tous!
Za Rudina!
Za Stalina!
(traduit de l'ukrainien par la rédaction)

ça va chier!

HERR LEUTNANT WARHEIT VOUS CORRIGE!



30 juin1941

Après que les défenses de Flushgorod aient été brillamment brisées, le XXIV° Armeekorps lança l’opération « Bratwurst » destiné à prendre en tenaille les forces soviétiques du secteur. Le bataillon « Von der Tann » était toujours la pointe de l’offensive et la 2. IR20 « Regensburg » devait exploiter sa victoire de la veille en s’enfonçant sur les arrières ennemis.

Durant toute la matinée et sans autre opposition que celle de quelques cochons égarés. La colonne entièrement motorisée et renforcée d’une section de Panzer II, progressa lestement sur les talons d’Yvan, jusqu’à ce qu’une pluie aussi torrentielle qu’inattendue en cette saison, transforme la campagne en un champ de boue impraticable.

15h30. Arrivée en vue d’une porcherie abandonnée du nom de Kraïna-Flushgïa, une barricade signala la probable présence d’Yvan. Contraint de progresser sur la route pour pouvoir tenir les délais, Von Friedrich pris contact avec l’escadrille de Stuka qui lui était affecté afin de dégager la zone dangereuse: en vain. Les malheureux équipages eurent la malchance de croiser une formation de I16 battant en retraite à tire d’aile. Le détour provoqué par cette malencontreuse rencontre ne leur permis pas d’intervenir.

16h00. Néanmoins, Stuka ou pas Stukas les délais devaient être tenus. Dépourvu de soutient aérien, Von Friedrich fit mettre ses pièces en batterie sur une colline à portée de la porcherie qui fut avoinée en bonne et due forme pendant que la colonne s’élançait à pleine vitesse pour franchir l’obstacle. Comme on pouvait s’y attendre la horde de cochons qui suinta hors des lieux malmenés portait l’uniforme tout crotté de l’armée rouge.

16h15. Le lieutenant Heinz, en tête de la colonne et fort désormais d’une parfaite connaissance du « H.Dv. 220/9. Ausbildungsvorschrift für die Pionier », dégagea la barricade sous le couvert de la 2.IR20 débarquée de façon parfaitement synchronisée aux abords de la porcherie.

16h20. La section de Panzer II passa en tête, suivi des fantassins contraints de poursuivre leur progression à pied. En lisière d’un petit bois bordant la route au-delà de la porcherie, Yvan offrit aux bavarois ce qui semblait être devenu le digestif traditionnel de son opposition en ce début d’été 41: une équipe de lance-flamme chargé au goulasch, et le commandant de la compagnie porcine surgirent emprunts d’un hystérie manifeste puis s’en retournèrent au fond des bois dans un calme de bon aloi.

16h21. La route dégagée, les chars légers s’engouffrèrent dans la brèche et il ne restait plus aux fantassins qu’à les rejoindre à marche forcée.

16h21’30’’. Toujours en proie à ses habitudes étranges, c’est à ce moment tardif que les artilleurs soviétiques se manifestèrent, prenant la route en enfilade et se déchaînant sur les malheureux fantassins à découvert.

16h21’45’’. Une poignée d’hommes résolus continua cependant d’avancer sous la pluie d’obus, et malgré d’épouvantables conditions le bataillon était sur le point de remplir sa mission avec succès.

16h21’46’’. C’est alors qu’une section de redoutables T26 apparut sur l’axe convoité. Dépourvu de moyens capables de déjouer ce nouvel obstacle depuis que l’artillerie adverse leur avait fait perdre le contact avec les Panzer II, le 2. IR 20 dû battre en retraite.

16h30. Un rapport fut transmis derechef au XXIV° Armeekorps, qui décida de poursuivre l’opération. La seconde compagnie fut aussitôt envoyée sur un axe plus au nord afin de rejoindre la section de Panzer II qui dépourvue de soutient d’infanterie, avait été contrainte de stopper sa percée.

20h00. Le désordre dans les rangs ennemi était maintenant si grand que la jonction entre les deux groupes fut effectuée sans difficulté. Mais il leur faudrait déormais tenir jusqu’au lendemain, le temps que le gros des forces de Von Friedrich les rejoigne et assure définitivement le succès de l’opération « Bratwurst »…

Oblt. Warheit, Propaganda Staffef 111. XXIV AK

HERR LEUTNANT WARHEIT ment,
HERR LEUTNANT WARHEIT ment...
HERR LEUTNANT WARHEIT est allemand...

On apprend de source sûre que les journalistes d'Ultima Pravda seront présents lors de l'éradication de la pseudo tête de pont fasciste!
Ultima Pravda, le poids des mots, et bientôt, le choc des photos!

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TOP SECRET
Un groupe de nos glorieux partisans russes localisa une nouvelle troupe de ces chiens allemands à quelques kilométres de notre frontière. Apparemment on entenda leur cris à une dizaine de km, tellement ils parlent fort. On a envoyé notre meilleur traducteur de langues, car il maîtrise 14 langues étrangeres, puisque ce n'était pas d'allemand. Et bien, notre gars n'a pas pu identifier la nationalité de cette troupe mais il a réussi à identifier quand même quelques mots comme "Cojones", "Mierda", "Cabrón" et une phrase qui doit être leur mot de passe: "¿Quién tiene el vino?". On lui a renvoyé au Gulag 14 en Sibérie pour qu'ils puisse avoir le temps d'étudier ses livres et pouvoir nous aider plus tard ...
Cette troupe s'approchant à la ligne de front, on a expedié la meilleur espionne pour connaître ses intentions, Tokiski Lasoba, surnommé "90-60-90" mais après trois jours on n'a pas pu rétablir le contact ...
Bref, on pense qu'ils arriveront à la ligne du front dans quelques semaines donc, il va falloir contrer cette nouvelle menace de l'ennemie.
ZA Stalina!!!

Si meme pépé s'y met, ou va t-on?

Quant à la représentation du club aux yeux exterieur, ceux-ci vont etre déçu de savoir que la wurst des joueurs historiques de plus de 26 ans est plus ridée et kleine que celle présenté ci dessus, elle est meme carrement hors d'usage depuis l'epoque d'ursula andres en bikini chez beaucoup.