Blitzkrieg: test de campagne
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FLUSH
Friedrich
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Blitzkrieg: test de campagne
Ven Juin 19 2009, 10:10
Juste pour info avec Pierrick on va essayer de tester un sytème de campagne pour blitzkrieg.
L'idée est de lancer ça en relais de la campagne Lotow (fin 2009?), sur un système assez ouvert pour pouvoir à la fois fonctionner sur une base minimale de 4 joueurs constants tout en permettant des participations épisodiques.
L'idée est de lancer ça en relais de la campagne Lotow (fin 2009?), sur un système assez ouvert pour pouvoir à la fois fonctionner sur une base minimale de 4 joueurs constants tout en permettant des participations épisodiques.
- FLUSHAncien de la meute
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Re: Blitzkrieg: test de campagne
Ven Juin 26 2009, 13:12
pemier round vendredi 3/07.
Malgré le pacte germano-soviétique habilement négocié par le camarade Molotov, afin de faire gagner du temps au camarade Borgia dans la tâche salvatrice que le Grand Staline lui a dictée (purger l'Armée Rouge des Paysans et des Marins-Pêcheurs de tous les dangereux trotskistes, anarchistes ou agents des puissances ploutocratiques qui s'y cacheraient encore), il semblerait que les hordes teutonnes viennent nous rendre visite.
Impréparation et sport garantis... :roll:
Malgré le pacte germano-soviétique habilement négocié par le camarade Molotov, afin de faire gagner du temps au camarade Borgia dans la tâche salvatrice que le Grand Staline lui a dictée (purger l'Armée Rouge des Paysans et des Marins-Pêcheurs de tous les dangereux trotskistes, anarchistes ou agents des puissances ploutocratiques qui s'y cacheraient encore), il semblerait que les hordes teutonnes viennent nous rendre visite.
Impréparation et sport garantis... :roll:
- FLUSHAncien de la meute
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Re: Blitzkrieg: test de campagne
Dim Juin 28 2009, 19:35
Joseph a de longues moustaches,
je répète,
Joseph a de longues moustaches,
je répète,
Joseph a de longues moustaches,
- FriedrichModérateur
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Re: Blitzkrieg: test de campagne
Lun Juin 29 2009, 11:31
La zoupe 'est haute-e,
Ich wiederhole,
La zoupe 'est haute-e,
Ich wiederhole,
La zoupe 'est haute-e,
- FLUSHAncien de la meute
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Re: Blitzkrieg: test de campagne
Lun Juin 29 2009, 22:17
les Boulons sentent pas bons
je répète
les Boulons sentent pas bons
:suspect:
je répète
les Boulons sentent pas bons
:suspect:
- FriedrichModérateur
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Re: Blitzkrieg: test de campagne
Mar Juin 30 2009, 11:11
- FriedrichModérateur
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Re: Blitzkrieg: test de campagne
Sam Juil 04 2009, 16:06
Un bond trop tôt !
Hier 22 juin à l’aube, les bavarois du I.IR 20 «Von de Tann» se sont lancés à l’assaut des premières lignes de défense bolchéviques avec pour mission de reprendre les premiers arpents de terre vilement spoliés au Reich 18 mois plus tôt.
Progressant lestement sur le flanc à la faveur de l’obscurité la 1ère Compagnie tomba rapidement face à de nombreux champs de mine ceinturant la position d’Yvan, tandis que la 2ème Compagnie couvrait sa progression sur sa gauche face à la localité de Fluschsicz.
Au prix de nombreuses pertes et grâce au soutient d’une section de Stug la 1ère compagnie franchit l’obstacle et secoua sévèrement le dispositif soviétique en profonfeur, pendant que la 2ème après avoir fixé un grand nombre d’Yvan dans la localité, parvint à l’investir partiellement.
Il ne restait plus qu’à donner l’estocade aux suppôts de Joseph. Mais il semble que l’heure matinale du déclenchement des opérations posa quelques problèmes aux forces dévolues à la mise à terre d’Yvan. Un seul équipage de Stuka décolla à temps pour être à l’heure au rendez vous au dessus de Fluschsicz, et les artilleurs de la batterie n°1 du I.IR 20 semblait prolonger inexorablement un profond sommeil.
Ne désarmant pas les fantassins de Regensburg poursuivirent leur mission, ne devant s’en remettre qu’à leur seul courage pour la mener à bien. La 2ème compagnie, tenta de profiter d’une accalmie dans le flot continu d’Yvans alimentant la localité. Il lança un assaut désespéré qui couta la vie au lieutenant Gerhart.
De son coté la 1ère compagnie voyait sans cesse les conscrits bolchéviques reprendre les armes après avoir essuyé un feu nourrit, chose pour le moins suspect qui trouvera son explication plus tard*.
A ce stade le bataillon du se résigner à se conformer au plan B du manuel 1.1.1, et les deux compagnies convergèrent conjointement au pas de course derrière leur Stug vers l’objectif de la 1ère compagnie (un petit bois au sud-est de Fluschsicz)
Méprisant le feu d’une pièce de 45 embusquée martelant son blindage, le Stug de la 1ère lança un assaut blindé sur un nid de mitrailleuses maintes fois secoué à une centaine de mètres de l’objectif. Mais les mitrailleurs soviétiques bien rôdés à l’exercice de l’aplatissement ventral s’en tirèrent sans perdre un orteil.
Une équipe de pionniers armés de lance-flamme surgit à son tour de nulle part sans plus d’effet que la pièce de 45. L’équipage du Stug répliqua à bout portant en neutralisant à coup d’obus de 75 l’infanterie lui faisant face. La pièce de 45 maintenant sur le flanc de l’audacieux blindé parvint alors à l’immobiliser, mais l’équipage tint bon et poursuivit le combat. Yvan tenta alors une seconde attaque au lance-flamme tout aussi infructueuse que la première!* Le stuka tournoyant au dessus de l’action plongea en piqué, et neutralisa le lance flammes et la pièce de 45.
La place semblait être dégagée mais c’était sans compter sur la dernière en état de combattre : celle du commandant de la compagnie bolchévique qui, bouteille de vodka à la main et bannière et bannière au vent bondit hors de la lisière et sauta sur le blindé, assassinant finalement et très horriblement l’équipage héroïque. Révulsé par ce spectacle les derniers hommes valides de la 1ère compagnie firent feux sur le criminel. Les pieds baignant dans le carburant et la vodka, l’ignoble individu s’embrasa comme une torche!
*C’est alors que l’ont fit le lien entre la combativité ahurissante de ces conscrits et l’inefficacité avérée de leurs lance flamme !...
Si les survivants de la 1ère compagnie durent ainsi se résigner à échouer si près de l’objectif, la 2ème compagnie pouvaient tenter une ultime action. Alors que le combat héroïque du Stug n°24 attirait l’attention des combattants, le Hptm. Georg était parvenu à se faufiler avec une section jusqu’à la lisière Est du bois tant convoité. Deux groupes furent neutralisés par le feux lointains des mitrailleuses bolchéviques, mais un dernier était encore capable de se mouvoir jusqu’au bois qui n’était alors plus tenu que par l’observateur d’artillerie soviétique, posté en lisière en face de nos héros!!!
Cet à ce moment précis que l’ennemi, après la vodka, dévoila l’autre face décadente de son caractère car visiblement l’observateur était sur écoute, et son appel dut être intercepté par la chiourme du parti qui ne n’hésita une seconde à diriger un tir d’urgence sur la zone couvrant à la fois les héroïques bavarois et cette pourriture de rouge armés d’une radio. L’artillerie soviétique balaya les deux adversaires, sonnant le glas de la mission du bataillon.
Sur les 261 hommes engagés, 61 sont tombés dont 2 officiers et l’équipage du Stug n°24 décoré de la Ritterkreuz à titre posthume.
Le Général Friedzig n’en restera pas là, et l’affront sera lavé dans le sang d’Yvan comme il se doit !
Oblt. Warheit, Propaganda Staffef 111. XXIV AK
Hier 22 juin à l’aube, les bavarois du I.IR 20 «Von de Tann» se sont lancés à l’assaut des premières lignes de défense bolchéviques avec pour mission de reprendre les premiers arpents de terre vilement spoliés au Reich 18 mois plus tôt.
Progressant lestement sur le flanc à la faveur de l’obscurité la 1ère Compagnie tomba rapidement face à de nombreux champs de mine ceinturant la position d’Yvan, tandis que la 2ème Compagnie couvrait sa progression sur sa gauche face à la localité de Fluschsicz.
Au prix de nombreuses pertes et grâce au soutient d’une section de Stug la 1ère compagnie franchit l’obstacle et secoua sévèrement le dispositif soviétique en profonfeur, pendant que la 2ème après avoir fixé un grand nombre d’Yvan dans la localité, parvint à l’investir partiellement.
Il ne restait plus qu’à donner l’estocade aux suppôts de Joseph. Mais il semble que l’heure matinale du déclenchement des opérations posa quelques problèmes aux forces dévolues à la mise à terre d’Yvan. Un seul équipage de Stuka décolla à temps pour être à l’heure au rendez vous au dessus de Fluschsicz, et les artilleurs de la batterie n°1 du I.IR 20 semblait prolonger inexorablement un profond sommeil.
Ne désarmant pas les fantassins de Regensburg poursuivirent leur mission, ne devant s’en remettre qu’à leur seul courage pour la mener à bien. La 2ème compagnie, tenta de profiter d’une accalmie dans le flot continu d’Yvans alimentant la localité. Il lança un assaut désespéré qui couta la vie au lieutenant Gerhart.
De son coté la 1ère compagnie voyait sans cesse les conscrits bolchéviques reprendre les armes après avoir essuyé un feu nourrit, chose pour le moins suspect qui trouvera son explication plus tard*.
A ce stade le bataillon du se résigner à se conformer au plan B du manuel 1.1.1, et les deux compagnies convergèrent conjointement au pas de course derrière leur Stug vers l’objectif de la 1ère compagnie (un petit bois au sud-est de Fluschsicz)
Méprisant le feu d’une pièce de 45 embusquée martelant son blindage, le Stug de la 1ère lança un assaut blindé sur un nid de mitrailleuses maintes fois secoué à une centaine de mètres de l’objectif. Mais les mitrailleurs soviétiques bien rôdés à l’exercice de l’aplatissement ventral s’en tirèrent sans perdre un orteil.
Une équipe de pionniers armés de lance-flamme surgit à son tour de nulle part sans plus d’effet que la pièce de 45. L’équipage du Stug répliqua à bout portant en neutralisant à coup d’obus de 75 l’infanterie lui faisant face. La pièce de 45 maintenant sur le flanc de l’audacieux blindé parvint alors à l’immobiliser, mais l’équipage tint bon et poursuivit le combat. Yvan tenta alors une seconde attaque au lance-flamme tout aussi infructueuse que la première!* Le stuka tournoyant au dessus de l’action plongea en piqué, et neutralisa le lance flammes et la pièce de 45.
La place semblait être dégagée mais c’était sans compter sur la dernière en état de combattre : celle du commandant de la compagnie bolchévique qui, bouteille de vodka à la main et bannière et bannière au vent bondit hors de la lisière et sauta sur le blindé, assassinant finalement et très horriblement l’équipage héroïque. Révulsé par ce spectacle les derniers hommes valides de la 1ère compagnie firent feux sur le criminel. Les pieds baignant dans le carburant et la vodka, l’ignoble individu s’embrasa comme une torche!
*C’est alors que l’ont fit le lien entre la combativité ahurissante de ces conscrits et l’inefficacité avérée de leurs lance flamme !...
Si les survivants de la 1ère compagnie durent ainsi se résigner à échouer si près de l’objectif, la 2ème compagnie pouvaient tenter une ultime action. Alors que le combat héroïque du Stug n°24 attirait l’attention des combattants, le Hptm. Georg était parvenu à se faufiler avec une section jusqu’à la lisière Est du bois tant convoité. Deux groupes furent neutralisés par le feux lointains des mitrailleuses bolchéviques, mais un dernier était encore capable de se mouvoir jusqu’au bois qui n’était alors plus tenu que par l’observateur d’artillerie soviétique, posté en lisière en face de nos héros!!!
Cet à ce moment précis que l’ennemi, après la vodka, dévoila l’autre face décadente de son caractère car visiblement l’observateur était sur écoute, et son appel dut être intercepté par la chiourme du parti qui ne n’hésita une seconde à diriger un tir d’urgence sur la zone couvrant à la fois les héroïques bavarois et cette pourriture de rouge armés d’une radio. L’artillerie soviétique balaya les deux adversaires, sonnant le glas de la mission du bataillon.
Sur les 261 hommes engagés, 61 sont tombés dont 2 officiers et l’équipage du Stug n°24 décoré de la Ritterkreuz à titre posthume.
Le Général Friedzig n’en restera pas là, et l’affront sera lavé dans le sang d’Yvan comme il se doit !
Oblt. Warheit, Propaganda Staffef 111. XXIV AK
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Re: Blitzkrieg: test de campagne
Lun Juil 06 2009, 00:29
Toutes les 5 secondes, un soldat allemand tombe sur le front russe... 1, 2, 3, 4, 5... Toutes les 5 secondes, un soldat allemand tombe sur le front russe... 1, 2, 3, 4, 5...Toutes les 5 secondes, un soldat allemand tombe sur le front russe... 1, 2, 3, 4, 5...Toutes les 5 secondes, un soldat allemand tombe sur le front russe... 1, 2, 3, 4, 5...Toutes les 5 secondes, un soldat allemand tombe sur le front russe... 1, 2, 3, 4, 5...Toutes les 5 secondes, un soldat allemand tombe sur le front russe... 1, 2, 3, 4, 5...Toutes les 5 secondes, un soldat allemand tombe sur le front russe... 1, 2, 3, 4, 5...Toutes les 5 secondes, un soldat allemand tombe sur le front russe... 1, 2, 3, 4, 5...Toutes les 5 secondes, un soldat allemand tombe sur le front russe... 1, 2, 3, 4, 5...Toutes les 5 secondes, un soldat allemand tombe sur le front russe... 1, 2, 3, 4, 5...Toutes les 5 secondes, un soldat allemand tombe sur le front russe... 1, 2, 3, 4, 5...Toutes les 5 secondes, un soldat allemand tombe sur le front russe... 1, 2, 3, 4, 5...Toutes les 5 secondes, un soldat allemand tombe sur le front russe... 1, 2, 3, 4, 5...Toutes les 5 secondes, un soldat allemand tombe sur le front russe... 1, 2, 3, 4, 5...Toutes les 5 secondes, un soldat allemand tombe sur le front russe... 1, 2, 3, 4, 5...Toutes les 5 secondes, un soldat allemand tombe sur le front russe... 1, 2, 3, 4, 5...Toutes les 5 secondes, un soldat allemand tombe sur le front russe... 1, 2, 3, 4, 5...Toutes les 5 secondes, un soldat allemand tombe sur le front russe... 1, 2, 3, 4, 5...Toutes les 5 secondes, un soldat allemand tombe sur le front russe... 1, 2, 3, 4, 5...Toutes les 5 secondes, un soldat allemand tombe sur le front russe... 1, 2, 3, 4, 5...Toutes les 5 secondes, un soldat allemand tombe sur le front russe... 1, 2, 3, 4, 5...Toutes les 5 secondes, un soldat allemand tombe sur le front russe... 1, 2, 3, 4, 5...Toutes les 5 secondes, un soldat allemand tombe sur le front russe... 1, 2, 3, 4, 5...
- FriedrichModérateur
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Re: Blitzkrieg: test de campagne
Lun Juil 06 2009, 11:07
- FLUSHAncien de la meute
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ULTIMA PRAVDA VOUS INFORME
Lun Juil 06 2009, 12:36
ULTIMA PRAVDA VOUS INFORME!
Vendredi dernier, les hordes germano-fascistes de Von Friedrich ont tenté de franchir les frontières de notre Mère Patrie.
Le Kamarad Flushenko, glorieux commandant d'un bataillon de la 10° Division d'infanterie de notre indestructible Armée Rouge, alerté durant la nuit par de denses éfluves de choux portés par le vent d'ouest, avait insisté auprès du colonel Petrov pour que son unité soit mise promptement en état d'alerte.
Aussi, durant la nuit, le survol intempestif de son secteur par un avion de la Luftwaffe, sembla indiquer encore plus clairement que le vil teuton engageait là quelque sournoiserie.
De fait, en pleine violation des accords passés avec le génial camarade Staline, l'ennemi profitait de la nuit pour violer la frontière.
Grâce à des champs de mines habilement placés, et à l'optimisation du bilinguisme de notre service de renseignements qui planta plus de 800 affichettes "Achtung Minen" sur une bonne partie du front, l'ennemi, quand il avança effectivement vers nos lignes, fut atteint d'une toute occidentale fébrilité. "Quoi!? Se dirent les hideux Huns, nous n'allons point à l'assaut pour égorger d'innocents enfants et trousser quelques femmes démunies!? Was passiert!? L'on veut ici défendre la Patrie du Socialisme?!" L'homme blond ne comprenait plus, on lui avait menti. Et d'enchérir, le pied sur une mine anti personnel modèle 37, fleuron de notre industrie d'armement, et témoignage du génie de nos scientifiques oeuvrant à la gloire de notre Illustre Nation " Was ist denn los! Ach! Krieg Gross Malhör"
La bataille commença vraiment quand un Feldgrau arriva le premier son paradis peuplé d'ineptes, débiles et fanfaronnes walkiries. Bien d'autres le suiveront...
Quand claquèrent les premiers coups de feu, toute l'unité se repositionna au mieux, tentant d'investir le bourg de Flushgorod (que les ploutocrates polonais avaient rebatisée Fluschsicz quand ils l'occupaient) pour secourir la population du péril fasciste. La multitude de l'ennemi, sortant de la pénombre comme les mouches sortent de la bouche de Lucifer, aurait pu modérer l'ardeur combattante de nos braves conscrits, mais leur foi en le Socialisme et la confiance en leur chef de corps leur permit de garder courage, et de s'illustrer vertement.
Aucun ne démérita, tous restèrent à leur poste, préférant une mort juste plutôt qu'une fuite honteuse.
Le misérable von Friedrich, perdu dès qu'il est loin de sa terre poméranienne, et démuni dès qu'il n'est pas entouré de ses serfs, vit son rêve de chasse aux faisans anihilé par la bravoure de nos Moujiks. Il ordonna à son fils -l'armée allemande pratique encore, comme du temps de Guillaume II, un népotisme aussi ridicule qu'éhonté- de prendre Flushgorod avec sa compagnie. Le jeune homme s'executa, et fort du soutien d'un nombre indéterminé de canons d'assaut et d'une section entière d'armes lourdes, la partie nord de la bourgade fut de fait occupée -très brièvement- par l'Allemand.
De même, au prix de lourdes pertes, et de la désertion d'un des officiers de leur compagnie -le Prussien n'est visiblement plus ce qu'il était- la gauche de notre dispositif fut bientôt mise dans une position délicate. Face à l'incroyable mécanisation de l'ennemi, Flushenko n'avait qu'une pièce antichar. Il fit arriver là tout ce qui pouvait stoper l'ennemi. On y chargea au lance flamme... Sans succès. Mais à force de bravoure et d'abnégation, malgré un bombardement aérien violent, on teint bon. Un char ennemi fut immobilisé en lisière de la forêt où nos troupes se battaient si vaillament. N'écoutant que son courage, le drapeau rouge à la main, Flushenko fit alors bondir son groupe de commandement en avant, au mépris total du danger. Une grenade placée dans la gueule du loup détruit le panzer, mais l'acte héroïque couta à son auteur fort cher. Juste avant de décrocher, l'ennemi s'acharna sur lui, tirant de toute part. Flushenko tomba et fut un moment laissé pour mort.
Mais... la mort ne veut pas des héros.
L'ennemi prestement chassé de Flushgorod, il n'en demeurait pas moins que le fils Friedrich voulait montrer au père que la valeur n'attendait point le nombre des années. Aussi, en bon autocrate qu'il est déjà, ordonna t il -sans pour autant les suivre- à sa section de pointe de prendre le bois d'où avait bondi Flushenko à revers. Le secteur n'était tenu que par le camarade Ivan Ivanovitch, observateur radio de son état, qui réussit enfin à contacter la batterie de 122 mm qui soutenait son bataillon. Suivant l'exemple de son chef d'unité, il n'hésita pas une seconde quand il comprit que seul son sacrifice pouvait arrêter l'ennemi.
"Tirer sur ma position" Ordonna t il. Après avoir confirmé l'ordre aux artilleurs tant médusés qu'emplis d'un respect incommensurable, il serra les dents et vit avec bonheur avant d'être blessé lui même l'Allemand fuir en laissant sa queue et ses blessés sur le champ de bataille.
La journée fut longue, nos pertes relativement élevées, mais la vigilance et le grand sens tactique du commandant-fait-colonel Flushenko surent faire de cette défaite annoncée une victoire éclatante.
Gageons que ce dernier puisse à nouveau regagner son unité. On le sait allité à Brest Litovsk, couvert de glorieuses blessures, entouré des meilleurs chirurgiens et des plus habiles infirmières. Nul doute que ces dernières sauront le remettre sur pied, elles qui pourraient réveiller un mort!
ZA RUDINA!
Vendredi dernier, les hordes germano-fascistes de Von Friedrich ont tenté de franchir les frontières de notre Mère Patrie.
Le Kamarad Flushenko, glorieux commandant d'un bataillon de la 10° Division d'infanterie de notre indestructible Armée Rouge, alerté durant la nuit par de denses éfluves de choux portés par le vent d'ouest, avait insisté auprès du colonel Petrov pour que son unité soit mise promptement en état d'alerte.
Aussi, durant la nuit, le survol intempestif de son secteur par un avion de la Luftwaffe, sembla indiquer encore plus clairement que le vil teuton engageait là quelque sournoiserie.
De fait, en pleine violation des accords passés avec le génial camarade Staline, l'ennemi profitait de la nuit pour violer la frontière.
Grâce à des champs de mines habilement placés, et à l'optimisation du bilinguisme de notre service de renseignements qui planta plus de 800 affichettes "Achtung Minen" sur une bonne partie du front, l'ennemi, quand il avança effectivement vers nos lignes, fut atteint d'une toute occidentale fébrilité. "Quoi!? Se dirent les hideux Huns, nous n'allons point à l'assaut pour égorger d'innocents enfants et trousser quelques femmes démunies!? Was passiert!? L'on veut ici défendre la Patrie du Socialisme?!" L'homme blond ne comprenait plus, on lui avait menti. Et d'enchérir, le pied sur une mine anti personnel modèle 37, fleuron de notre industrie d'armement, et témoignage du génie de nos scientifiques oeuvrant à la gloire de notre Illustre Nation " Was ist denn los! Ach! Krieg Gross Malhör"
La bataille commença vraiment quand un Feldgrau arriva le premier son paradis peuplé d'ineptes, débiles et fanfaronnes walkiries. Bien d'autres le suiveront...
Quand claquèrent les premiers coups de feu, toute l'unité se repositionna au mieux, tentant d'investir le bourg de Flushgorod (que les ploutocrates polonais avaient rebatisée Fluschsicz quand ils l'occupaient) pour secourir la population du péril fasciste. La multitude de l'ennemi, sortant de la pénombre comme les mouches sortent de la bouche de Lucifer, aurait pu modérer l'ardeur combattante de nos braves conscrits, mais leur foi en le Socialisme et la confiance en leur chef de corps leur permit de garder courage, et de s'illustrer vertement.
Aucun ne démérita, tous restèrent à leur poste, préférant une mort juste plutôt qu'une fuite honteuse.
Le misérable von Friedrich, perdu dès qu'il est loin de sa terre poméranienne, et démuni dès qu'il n'est pas entouré de ses serfs, vit son rêve de chasse aux faisans anihilé par la bravoure de nos Moujiks. Il ordonna à son fils -l'armée allemande pratique encore, comme du temps de Guillaume II, un népotisme aussi ridicule qu'éhonté- de prendre Flushgorod avec sa compagnie. Le jeune homme s'executa, et fort du soutien d'un nombre indéterminé de canons d'assaut et d'une section entière d'armes lourdes, la partie nord de la bourgade fut de fait occupée -très brièvement- par l'Allemand.
De même, au prix de lourdes pertes, et de la désertion d'un des officiers de leur compagnie -le Prussien n'est visiblement plus ce qu'il était- la gauche de notre dispositif fut bientôt mise dans une position délicate. Face à l'incroyable mécanisation de l'ennemi, Flushenko n'avait qu'une pièce antichar. Il fit arriver là tout ce qui pouvait stoper l'ennemi. On y chargea au lance flamme... Sans succès. Mais à force de bravoure et d'abnégation, malgré un bombardement aérien violent, on teint bon. Un char ennemi fut immobilisé en lisière de la forêt où nos troupes se battaient si vaillament. N'écoutant que son courage, le drapeau rouge à la main, Flushenko fit alors bondir son groupe de commandement en avant, au mépris total du danger. Une grenade placée dans la gueule du loup détruit le panzer, mais l'acte héroïque couta à son auteur fort cher. Juste avant de décrocher, l'ennemi s'acharna sur lui, tirant de toute part. Flushenko tomba et fut un moment laissé pour mort.
Mais... la mort ne veut pas des héros.
L'ennemi prestement chassé de Flushgorod, il n'en demeurait pas moins que le fils Friedrich voulait montrer au père que la valeur n'attendait point le nombre des années. Aussi, en bon autocrate qu'il est déjà, ordonna t il -sans pour autant les suivre- à sa section de pointe de prendre le bois d'où avait bondi Flushenko à revers. Le secteur n'était tenu que par le camarade Ivan Ivanovitch, observateur radio de son état, qui réussit enfin à contacter la batterie de 122 mm qui soutenait son bataillon. Suivant l'exemple de son chef d'unité, il n'hésita pas une seconde quand il comprit que seul son sacrifice pouvait arrêter l'ennemi.
"Tirer sur ma position" Ordonna t il. Après avoir confirmé l'ordre aux artilleurs tant médusés qu'emplis d'un respect incommensurable, il serra les dents et vit avec bonheur avant d'être blessé lui même l'Allemand fuir en laissant sa queue et ses blessés sur le champ de bataille.
La journée fut longue, nos pertes relativement élevées, mais la vigilance et le grand sens tactique du commandant-fait-colonel Flushenko surent faire de cette défaite annoncée une victoire éclatante.
Gageons que ce dernier puisse à nouveau regagner son unité. On le sait allité à Brest Litovsk, couvert de glorieuses blessures, entouré des meilleurs chirurgiens et des plus habiles infirmières. Nul doute que ces dernières sauront le remettre sur pied, elles qui pourraient réveiller un mort!
ZA RUDINA!
- FriedrichModérateur
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Re: Blitzkrieg: test de campagne
Lun Juil 06 2009, 14:03
A lecture de l'organe de propagande bolchévique l'Oblt Warheit se remémora un vieux proverbe Pomméranien:
"Mieux vaut grandir sous les coups d'une cravache prussienne, que dans la bestiale promiscuité d'une isba"
"Mieux vaut grandir sous les coups d'une cravache prussienne, que dans la bestiale promiscuité d'une isba"
- FLUSHAncien de la meute
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Re: Blitzkrieg: test de campagne
Mar Juil 07 2009, 17:36
ULTIMA PRAVDA VOUS INFORME
L'illustre camarade chanteur Miki Jackowich de l'orchestre symphonique de Républiquue Socialiste Soviétique de Kalifornistan en tournée en Biélorussie quand l'ogre nazi trahit sa parole en nous attaquant sauvagement, a voulu hier symboliquement soutenir nos forces combattantes, en allant visiter l'hôpital militaire de campagne de la 10° Streklovy Div. où il voulait se rendre au chevet du Camarade Flushenko, dont la notoriété n'a d'égal que son abnégation.
Jackovich fut fort surpris de constater que son lit était vide. On lui expliqua alors que, après la lecture d'un rapport détaillé sur les mouvements de troupes ennemis faisant face à son secteur, lui et le sous lieutenant Ivanovich, s'aidant mutuellement pour marcher (il leur reste à eux deux deux jambes valides), avaient quitté les lieux, et ordonné qu'on les conduise derechef à Flushgorod, où eux et leurs camarades se sont si brillament illustrés.
Il semblerait en effet que l'ennemi se soit renforcé, notamment en blindés, et qu'il tente à nouveau un assaut sur cette bourgade, dont le contrôle gêne considérablement les forces fascistes dans leur tentative tant funeste qu'inepte d'encerclement de Brest Litovsk.
L'illustre camarade chanteur Miki Jackowich de l'orchestre symphonique de Républiquue Socialiste Soviétique de Kalifornistan en tournée en Biélorussie quand l'ogre nazi trahit sa parole en nous attaquant sauvagement, a voulu hier symboliquement soutenir nos forces combattantes, en allant visiter l'hôpital militaire de campagne de la 10° Streklovy Div. où il voulait se rendre au chevet du Camarade Flushenko, dont la notoriété n'a d'égal que son abnégation.
Jackovich fut fort surpris de constater que son lit était vide. On lui expliqua alors que, après la lecture d'un rapport détaillé sur les mouvements de troupes ennemis faisant face à son secteur, lui et le sous lieutenant Ivanovich, s'aidant mutuellement pour marcher (il leur reste à eux deux deux jambes valides), avaient quitté les lieux, et ordonné qu'on les conduise derechef à Flushgorod, où eux et leurs camarades se sont si brillament illustrés.
Il semblerait en effet que l'ennemi se soit renforcé, notamment en blindés, et qu'il tente à nouveau un assaut sur cette bourgade, dont le contrôle gêne considérablement les forces fascistes dans leur tentative tant funeste qu'inepte d'encerclement de Brest Litovsk.
- FriedrichModérateur
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Re: Blitzkrieg: test de campagne
Lun Juil 20 2009, 15:03
RECONNAISSANCE EN FORCE DU 22 JUIN
- FLUSHAncien de la meute
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Re: Blitzkrieg: test de campagne
Lun Juil 20 2009, 20:54
Des flèches, :arrow:
des numéros, :geek:
de la couleurs, :flower:
Y a pas, les Teutons savent y faire. :drunken:
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- FriedrichModérateur
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Re: Blitzkrieg: test de campagne
Mer Juil 22 2009, 12:23
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